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le SIDA un dossier chaud et des revelations a couper le souffle

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Message par guini24 Mar 27 Nov - 16:08

salamou alaikoum

extrait du livre les 10 plus gros mensonges sur le VIH et le SIDA




Commençons par la fin, le 10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord au sujet de la cause virale du
sida









Plusieurs
centaines de scientifiques, et non les moindres, ont préféré prendre
des risques sur des carrières
qui s’annonçaient souvent très prometteuses plutôt que
d’accepter les nombreux mensonges et incohérences distillés par les
instances officielles. [Vous trouverez des références à la fin de
cet article.]













Présentation de cet article








«
Les 10 plus gros mensonges sur le sida » Livre écrit par le Dr Étienne
De Harven et le journaliste
scientifique et technique Jean-Claude Roussez. Publié en 2005
aux éditions Dangles, en France Article de Dany Quirion pour Alter Info
Il est important ici de souligner que cet article est
uniquement composé d’extraits intégraux tirés du livre.
Plusieurs autres informations cruciales ne sont pas abordées ici et
elles demeurent à découvrir dans le livre.













Reprenons depuis le début. 1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.








Aussi
bien le grand public que la majorité des professionnels de la santé
sont persuadés que le sida est un
phénomène épidémique apparu soudainement au début des année 80,
causé par l’émergence d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience
acquise, ou sida, n’est pas à proprement parler une
maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et de
symptômes survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise
par une forte diminution, voire un effondrement, des défenses
immunitaires. Depuis longtemps les deux principales causes
d’immunodéficience acquise étaient parfaitement connues et documentées :
- la malnutrition; - l’usage de substances dangereuses pour
le système immunitaire (drogue, certains médicaments, sang
transfusé).













2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH








Lorsque
l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de consulter la
littérature scientifique relative au
virus proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces
investigations n’a jamais réussi à mettre directement en évidence la
présence de la moindre particule virale, et en
particulier pas la moindre particule rétrovirus, chez un malade
du sida. […] C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc
Montagnier qui a la première annoncée la découverte d’une
activité virale, en 1983, à partir de prélèvements effectués sur
un malade du sida. L’année suivante, l’équipe de Robert Gallo, aux
États-Unis, fit une annonce similaire. On s’apercevra par
la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa
« découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait
généreusement offerte quelques mois auparavant. Il arriva la même
mésaventure à Robin Weiss, le grand spécialiste britannique du
sida, qui fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du virus
résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un
échantillon de la culture de Luc Montagnier. On peut ainsi
constater que, de part et d’autre de l’Atlantique, les trois équipes les
plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à annoncer qu’une
très vague présomption à partir de cultures cellulaires issues
d’un même patient! Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature
médicale pas un seul article dans lequel on pourrait trouver la
conclusion selon laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que
ce virus est la cause du sida.













3e mensonge : Le VIH est la cause du sida








Revenons
au début des années 80. Les premiers cas de sida ont été détectés aux
États-Unis au sein de la
communauté homosexuelle et chez les toxicomanes par voie
intraveineuse. Il est nécessaire de préciser que ce n’est pas le fait
d’être homosexuel qui constitue un facteur de risque vis-à-vis
du sida. Seul le style de vie de certains homosexuels masculins
est de nature à provoquer une immunodéficience. […] Différentes drogues
circulaient abondamment (cannabis, cocaïne,
amphétamines, LSD, barbituriques, héroïne…), mais les vedettes
incontestées étaient les « poppers », petites fioles contenant du
nitrite d’amyle, un puissant vasodilatateur possédant des
vertus apparemment aphrodisiaques. À l’origine, ce produit était
un médicament utilisé comme dilatateur coronarien dans le traitement
des crises d’angine de poitrine. La communauté
homosexuelle détourna les nitrites de leur usage thérapeutique
pour en faire leur stupéfiant le plus prisé, et cela dès les années 60.
[…] Dès qu’ils sont dans le sang, les nitrites se
transforment en oxyde nitrique et endommagent les parois
internes des vaisseaux sanguins, ce qui explique leur implication dans
un cancer des capillaires : le sarcome de Kaposi. Bien
qu’interdits, les poppers ont continué jusqu’à aujourd’hui à
être disponible, que ce soit en empruntant des noms innocents comme «
nettoyant pour cuir », ou bien en plein jour, par exemple
dans les sex-shops. Le phénomène s’est même aggravé par la suite
puisqu’ils ont été adoptés par certains hétérosexuels en quête de
performances. Malgré l’évidence que l’usage des poppers
était associé à la majorité des cas de sida chez les
homosexuels, aux États-Unis, certains médias appuyés par les organismes
de santé publique diffusèrent dès 1983 auprès de la communauté gay
des informations disculpant totalement les nitrites. Cette
attitude peut être qualifié de criminelle. Il a fallu attendre 1994 pour
que Robert Gallo, « co-découvreur » du « VIH » et (riche)
promoteur du premier test de dépistage, admette lors d’une
conférence du NIDA (National institute on drug abuse) que le sarcome de
Kaposi, maladie typique de la communauté homosexuelle, ne
pouvait être causé par un virus mais que les poppers devaient en
être la principale cause. Cet aveu tardif n’a absolument rien changé à
l’attitude officielle. [Ce chapitre contient d’autres
informations sur les toxicomanes, les hémophiles, les
mal-nourris, etc.]













4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont bénéfiques








En
1987, apparut le premier médicament antiviral prétendument spécifique
au sida : l’AZT. L’azidothymidine, ou
AZT, fut découverte dès 1964 et proposée en vue d’une
utilisation dans les thérapies anticancéreuses. Ses effets dévastateurs
(et systématiquement mortels chez les souris de laboratoire!) ont
suscité un rejet catégorique de la part des autorités chargées
de l’accréditation des nouveaux médicaments anticancéreux. Autres temps
autres mœurs : le besoin de fournir aux malades du sida
une thérapie […] on accorda de toute urgence l’autorisation
surprenante de mettre sur le marché l’AZT, malgré sa très haute
toxicité. - Les autres antiviraux : Chacun possède son propre
système d’effet génétique mais le principe est tours le même.













5e mensonge : La séropositivité est un signe d’infection par le VIH








Ce
mensonge est certainement le plus inique de tous ceux qui sont dénoncés
dans cet ouvrage, car il a permis
de faire croire à des millions de personnes qu’elles étaient
malades et contagieuses. […] Le test de type « Western Blot » est
utilisé pour confirmer une séropositivité lorsque celle-ci a été
détectée par un ou deux tests de type « Elisa ». C’est donc un
test considéré comme plus fiable. Un test Western Blot comprend dix
bandes alignées correspondant aux dix protéines que l’on a
définies comme étant typiquement et exclusivement relatives au «
VIH ». L’harmonisation internationale des diagnostics étant
inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains pays
lorsque seulement deux bandes ont réagi. Dans certaines
contrées, il en faut trois. Dans d’autres, quatre bandes sont
nécessaires. On voit donc que selon le pays où l’on réside, le même
sérum, analysé dans des conditions identiques, peut fabriquer un
séropositif ou un séronégatif, au gré de la législation en vigueur.
Mais il y a plus intéressant encore. Puisque les dix
protéines utilisées dans les tests sont annoncées comme typiques
du « VIH », on peut se poser les deux questions suivantes, totalement à
l’opposé l’une de l’autre : - Pourquoi deux à quatre
bandes sont-elles nécessaires alors qu’une seule devrait être
suffisante pour diagnostiquer la présence du virus? - Pourquoi seulement
deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors que la
présence du virus devrait impliquer obligatoirement la présence
des dix protéines qui lui sont attribuées, donc la réaction de toutes
les dix bandes du test? […] Cela dit, il faut signaler
que ces tests inspirent si peu confiance qu’aux États-Unis, la
FDA (Food and drug administration) n’a apportée sa caution à aucun
d’entre eux. […] Il est important de rappeler que, faute de
standard internationale, on peut être classé séropositif ou
séronégatif selon le pays où l’on réside. Sur les dix bandes de test que
compte le Western Blot, il suffit d’en avoir deux qui
soient jugées « positives » pour être déclaré infecté en
Afrique. Il en faudra trois en Grande-Bretagne et quatre en Australie.
Il y a plus grave. Les tests sont si peu spécifiques que les
fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests ne peuvent servir
à affirmer ou infirmer la présence du « VIH ». Ils signalent également
qu’il y a de nombreuses sources possibles de
faux-positifs, en tout une soixantaine. […] - La charge virale
Le concept de « charge virale » a été introduit aux USA par le docteur
David Ho, par ailleurs promoteur des multithérapies,
espérant ainsi fournir une explication au fait que personne ne
trouvait de « VIH » directement chez aucun patient. Le médiatique
personnage (élu « homme de l’année 1996 » par Time Magasine)
proposa alors que le virus savait se rendre indétectable mais
qu’on pouvait néanmoins le mettre en évidence grâce à la technique PCR
(polymerase chain reaction), qui est un procédé de
multiplication de l’ADN. En 1997, David Ho et ses collaborateurs
traitèrent un groupe de vingt patients avec une bithérapie associant
AZT et inhibiteur de protéase. Dès le début du
traitement, la fameuse « charge virale » de ces patients était
tombée à un niveau indétectable et y est restée. Ce résultat fut
présenté comme l’évidence que la bithérapie prescrite était
efficace. Selon les scientifiques orthodoxes eux-mêmes, au moins
99,8% des particules mesurées par le test de charge virale ne sont pas
infectieuses! D’où viennent-elles? De « VIH » mal
assemblés, bons pour le rebut? Le problème, c’est que ces virus
boiteux, tout comme ceux qui sont présents comme virulents, n’ont jamais
été vus au microscope électronique. Pourtant, avec la
quantité importante de particules que l’on prétend trouver, il
n’y aurait rien de plus facile. […] Mieux encore : l’inventeur de la
technique PCR [PCR le test de la charge virale], Karry
Mullis (qui a obtenu le prix Nobel de chimie en 1993 pour cette
invention) tient pour frauduleuse l’utilisation de son procédé dans la
recherche de la « charge virale ». Ce scientifique
authentique et incontestable se heurte pourtant à un mur. On
étouffe ses propos contestataires, bien que sa démonstration soit
brillante et documentée. Trop d’intérêts et de carrières sont en
jeu.













6e mensonge : Le sida est contagieux








Toutes
les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie, herpès génital ou
anal …), dès qu’elles ont été
sexuellement transmises, provoquent une infection dont les
symptômes sont évidents au bout de quelques jours, et cela sans faire de
distinction entre les individus. - Le sida des homosexuels
Les cinq premiers cas de sida furent observés et décrits à Los
Angeles, en 1981. L’auteur du premier rapport sur ces cinq cas initiaux,
Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que ces cinq
patients étaient homosexuels, et faisaient tous usage de nitrite
d’amyle (poppers). En outre, il indiquait que ces cinq malades ne
s’étaient jamais rencontrés et n’auraient donc pas pu se
contaminer l’un l’autre. Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à
Michael Gottlieb qu’il venait de découvrir une nouvelle maladie
infectieuse? Rien ne permet de répondre à cette question, et le
mystère reste entier. Une parabole aidera à mieux saisir
l’importance de la question : imaginons qu’un médecin ait pour mission
de surveiller la santé d’une centaine d’ouvriers travaillant
tous dans une usine de colorants. C’est une vieille usine, mal
ventilée, et où l’on manipule une abondance de sels de plomb. Après
quelques années, le médecin identifie une dizaine de cas de
saturnisme parmi ces ouvriers. Va-t-il en conclure que le
saturnisme est une maladie contagieuse parce que les malades
travaillaient tous dans la même usine? Ou va-t-il conclure que ses
patients ont tous été exposés au même risque toxique et ont par
conséquent tous développé la même maladie? La réponse est trop évidente…
Comment expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas
raisonné de la même façon, et n’ait pas immédiatement compris
que ses cinq patients avaient tous été exposés aux mêmes drogues
toxiques, et par conséquent avaient tous développé la même
pathologie?













7e mensonge : Le VIH est la source de nombreuses maladies








Le
virus de la rougeole n’est présent que chez les rougeoleux, celui de la
grippe chez les grippés, etc. Avec
le « VIH », une nouvelle ère a commencé : celle des virus
polyvalents, polymorphes et tout-puissants, capables de causer non
seulement une importante variété de maladies infectieuses (dues à
l’immunodéficience), mais aussi des pathologies n’ayant rien à
voir avec le système immunitaire. En tout, c’est une trentaine de
maladies qu’est supposé provoquer ce tueur invisible, plus
proche monstrueux et pitoyables aliens des films de
science-fiction que d’un micro-organisme. Comment les biologistes et les
professionnels de la santé ont-ils pu avaler cette couleuvre qui
remettait en cause tout ce qu’ils avaient appris jusque-là? Il
faut croire que leur faculté de raisonnement a été anesthésiée par les
beaux discours venant des mandarins et des laboratoires
pharmaceutiques. Car il faut le souligner, dès que l’on fait
partie de l’élite scientifique, on peut se permettre d’émettre
l’hypothèse la plus délirante en étant certain d’être suivi par
l’ensemble d’une opinion publique informée par des médias en
recherche permanente de surenchère et de sensationnel. Apporter la
moindre preuve est inutile : seule compte la notoriété.
[Docteurs : Dépêchez-vous à mettre votre nez dans ce livre,
principalement ce chapitre.]













8e mensonge : Il vaut mieux savoir que l’on est séropositif








Le
stress aigu a parfois des conséquences salutaires, car il permet de
réagir efficacement en face d’un danger
immédiat (fuir ou combattre). En revanche, le stress permanent
est une source de déséquilibre entraînant une cascade d’événements
préjudiciables. Les perturbations psychologiques provoquées
par l’annonce d’une séropositivité et les réactions
émotionnelles qui en découlent induisent des réactions physiologiques
dommageables pour la santé, en affaiblissant les réactions naturelles
de défense de l’organisme. C’est ainsi que la boucle de
régulation hormonale mettant en jeu les glandes surrénales et certaines
glandes endocrines du cerveau (hypophyse, hypothalamus,
épiphyse) se trouve fortement perturbuée en cas de stresse
intense, l’une des conséquences étant une surproduction de certains
messagers chimiques (neuromédiateurs), comme le cortisol qui est
une hormone immunosuppressive. Le stresse affaiblit donc
l’activité du système immunitaire, mais provoque aussi de nombreuses
autres perturbations, […]













9e mensonge : L’épidémie du sida est dévastatrice








Les
organismes de santé publique s’accordent à donner des informations
apocalyptiques sur la progression du
sida dans le monde. Elles sont relayées avec beaucoup de
complaisance (et sans vérification) par l’ensemble des médias et par les
organisations dont le sida est la raison d’exister. Cette
montée de la terreur s’est faite par étapes successives : 1.
Attribuer à un virus l’immunodéficience acquise a été le premier pas. Un
pas décisif qui a permis d’imposer l’idée que le sida
était une maladie infectieuse, donc transmissible. 2. Mettre au
point des tests de séropositivité a servi ensuite à prétendre pouvoir
détecter une infection au sein de population en bonne
santé (et inventer en même temps le sida hétérosexuel). 3. Dans
un troisième temps, le nombre des maladies censées être causées par le «
VIH » a progressé par paliers, passant de trois à
trente en quelques années. 4. En plus, la définition même du
sida a été profondément modifiée à quatre reprises (1982, 1987, 1992 et
1998) par les CDC (Centers for disease control and
prevention) et l’OMS (Organisation mondiale de la santé), chaque
nouvelle définition entraînant une escalade catastrophique de
l’apparente épidémie. 5. Enfin, les statistiques basées sur des
extrapolations acrobatiques ont permis d’augmenter chaque année
les chiffres de la contamination, surtout dans les pays où les contrôles
sont les plus difficiles à opérer. Quelle est la
situation actuelle, lorsque l’on s’en teint aux faits? Dans les
deux régions du monde où le sida a fait ses premières apparitions, les
États-Unis et l’Europe de l’Ouest, la prétendue épidémie
a fait long feu. En Océanie, elle n’a même jamais débuté. En
revanche, les statistiques officielles annoncent une flambée des
infections dans plusieurs zones qui avaient été longtemps
épargnées. [Chacune de ces régions sera analysée par la suite
dans le chapitre, de même que les statistiques.]











10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord







[Nous
l’avons partiellement vu au début de l’article, mais voici quelques
noms de dissidents à cette adresse :]
http://www.virusmyth.net/aids/group.htm Seul site français
entourant la controverse du sida : Et un dernier
article intéressant:

http://www.planetenonviolence.org/VIH-et-Sida-Voix-dissidentes,-dissensions-volontairement-ignorees-BIZZ-comme-d-Hab_a342.html
www.sidasanté.com
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Message par cruella Mer 28 Nov - 13:13

est ce pour ça que l'onusida annonce qu'il y'a chute de 50% de nouvelles infections a VIH et que le nombre de décès a lui aussi chute de 25%?
LEUR RESTENT 1000 JOURS POUR ATTEINDRE L'OBJECTIF "0"
a vos marques partez
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Message par guini24 Mer 28 Nov - 13:58

bonjour hhakima
exactement cruella
errih fi chibek
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Message par guini24 Mer 28 Nov - 14:01




affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid
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